La 1ere sortie de ma puce avec l'école a failli tourner au drame
L'école de ma puce a organisé une sortie au cirque grace à l'argent
gagné lors ud marché de noel et hier lors du trajet de l'aller, ce voyage a failli tourner
au drame pour ces petits écoliers
Voici une copie de l'article du journal de ma région
NEVERS
Fait divers (FDV)
mercredi 4 février 2009 - 01:06
Les occupants ont frôlé la mort
Trente-sept enfants de Pouilly-sur-Loire et leurs sept accompagnatrices sont sortis indemnes après une collision entre leur car et un train, hier, à Nevers.
Il a manqué quelques centimètres. Le car avait presque franchi les voies quand le Train Express régional (TER) Dijon-Nevers avec une trentaine de clients à bord est arrivé à 120 km/h. Les deux demi-barrières étaient fermées. L'arrière du véhicule a été enfoncé et la vitre a explosé. Des éclats de verre ont été projetés sur cinq rangées de sièges.
Des premières investigations des policiers du commissariat, il ressort que le car est resté bloqué derrière un autre bus après avoir traversé la quasi-totalité du passage à niveau. Lui-même à l'arrêt, ce dernier véhicule était prisonnier d'une file de voitures immobilisées aux feux tricolores de l'intersection avec le faubourg du Grand-Mouësse.
Le conducteur du train n'a aperçu l'obstacle et le danger imminent qu'« à une distance de 550 mètres alors qu'il lui faut 800 m pour s'arrêter », explique un responsable de la SNCF.
Quand les secours sont arrivés, le chauffeur du car avait évacué l'ensemble des bambins (lire par ailleurs). Trois des petits, choqués et en pleurs, ont été examinés par un médecin-pompier. « Ils ont été auscultés puis remis aux accompagnatrices », raconte le lieutenant Sandrine Consigny, officier de garde du Service départemental d'Incendie et de Secours (Sdis), à la tête d'une équipe de treize pompiers.
Les policiers ont longuement entendu le chauffeur, hier après-midi, sur les circonstances de l'accident. Ils ont également auditionné les témoins et saisi les disques de vitesse du bus mais aussi du train. Leur Service local de Police technique et scientifique a photographié toute la scène pour aider à la compréhension du sinistre. De son côté, la Sncf devait vérifier le bon fonctionnement de ses installations (barrières, feux clignotants...).